Retrouvaille (Rv : Troupe A, Jake C + libre)

Mais entre nous, Elena n'était pas encore la plus en avance, car assis depuis une bonne demi-heure, Jake Clayton était en pleine réflexion un livre dans une main, un masque dans l'autre et son portable posé non loin de lui. En effet, attentif au moindre appels qu'il pouvait lui être destiné depuis ses dix-huit ans, de nuit comme de jour le portable de Mister Clayton était en permanance allumé, on ne sait jamais.
Essayant toute fois de ne pas trop y réfléchir, il était entrain de lire patiemment un classique : Cyrano de Bergerac pour la ennième fois. Il avait fait mainte et mainte fois des représentation de cette pièce, toute différente marqué par la signature du metteur en scène qui adorait cette histoire, presque autant que Roméo & Juliette, qui était LA pièce fétich de monsieur. Normal, c'était la première qu'il eu joué en temps qu'acteur : Roméo Montaigue.
Mais bon assez ressassez le passé, en continuant ainsi il remontra forcément à ce maudit jour où il rentrait du lycée et où il avait tant attendu sa chère Emily, qui n'était jamais revenu. "Ne me cherche plus, tu ne me reverra jamais, adieux" Quelques mots qu'elle eu prononcé, c'était invivable, abandonné par sa soeur, qui était on ne sait où, peut-être mère... Promettant un coup de fil qu'elle n'avait passé qu'une seule fois, quelques mois après la disparition. Et cela durait depuis dix huit ans. Et oui déjà... Voilà que dix huit années avaient passé sans nouvelle d'Emily Clayton, ou quelque soit son nom désormais. Dix huit années qu'il n'avait pas vu sa jeune soeur.
Jake secoua la tête, il ne voulait plus y penser ! De toute manière quelque chose le fit sortir de ses rêveries, un bruit de porte qui donc arrivait là ? Il n'était que midi et demi, la réunion était prévu dans une heure. Et pourtant, c'était bien Elena White qui se faufilait dans le theatre. Jake sourit, ferma brusquement son livre, et se leva pour aller saluer sa chère actrice.

"Hey, Elena sa va bien ?"

Elena, perdut dans ses réflexions et ses retrouvailles émotives avec le théâtre en général, n'avait même pas remarquer Jake bien assis dans un des grand fauteuils rouges de la pièces. Elle rêvassait, comme toujours, de cette façon bien unique à elle même et quand il en était question, elle n,avait pas grand conscience du monde physique. C'est en partit pour cette raison qu'elle sursauta en entendant la voix du metteur en scène résonner dans la pièce qu'elle croyait vide.

La jeune comédienne se tourna vivement et aperçut le charmant sourire de Jacob Clayton, cet original dans l'âme, un grand frère à ses yeux.

"Jake!"

Fidèle à elle-même, Elena s'avança rapidement et enlaça spontanément le jeune homme comme seule elle pouvait le faire avec les êtres qui lui était chère. Elle se défit alors de cette étreinte improvisé et ofrit un large souruire au metteur en scène.

"Ça ne pourrait pas aller mieux qu'en se moment même! " lança t'elle, respirant le bonheur. " Et toi, ça va? Tu as passé de belles vacances?"

Comment c'était donc passée les vacances du metteur en scène ? Semblable à toutes ses autres de toute manière. Il était passé aller voir ses parents, il avait préparé quelques pièces de théatre pour se divertir, il s'était lui même rendu au théatre, il avait vu des anciens amis et il avait attendu. Attendu la fin des vacances avec hâte, attendu un coup de fil ? Oh suis-je donc obligé de précisez cela ? N'est-il pas évident que Jake Clayton est attendu ce fameux coup de fil qui n'arriverait jamais ? Ooh et puis zut, il en avait marre de penser à cela !
Il se laissa enlacer par sa camarade de scène, lui frottant le dos comme pour lui tenir chaud, s'amusant machinalement avec quelques mèches rebelles de cheveux de la belle, et puis affichant son air distrait, pensif, il déclara enfin :

"Pffiou... Monotomne ma chère Elena, rien de neuf famille, amis, théâtre... La routine la plus totale, j'avais hâte de reprendre le travail, si toute fois il s'agit d'un travail. J'espère que ça c'est mieux passé pour toi."

Ne paressant tout de même pas désespéré, ni démoralisé, Jacob, à la différence d'Elena, ne respirait pas la joie non plus. Affichant seulement un sourire enigmatique mais toute fois amusé qui lui était habituel, il passa un main dans ses cheveux bruns pour dégagez son visage, et plus particulièrement ses yeux chocolat chaud qui observait Elena.

"Et moi? On ne me fait pas de calins à moi?

Emanant des hauteurs, la voix mystérieuse résonnait dans la pièce absolument dépouillée des ordinaires décors, accéssoires, requisites et autres. Seules les poutres émettaient une légère plainte alors qu'un jeune homme d'environ 25 ans se balladait nus pieds sur leurs dos meutris par les années. La pénombre masquait un corps éllançé, trahissait les pensées qui se balladaient dans son esprit.
Il n'en revenait toujours pas que, tout plongés dans leur petite scène de retrouvailles à fendre le coeur, les deux personnages ne se soient pas apperçus qu'il s'était faufilé bien maladroitement dans la pièce et que tel un singe, avait pris d'assaut le Théâtre de Poche...par voies aériennes! Un léger sourir étirait ses lèvres tandis qu'il sentait leurs regards surpris scruter le haut de la pièce.

Enfin et pour abrèger leurs souffrances, Phoenix sauta lèstement de son perchoir eet atterit accroupi sur la scène dépouillée: son entrée n'en était que plus réussie.
Sa haute taille était plus que jamais mise en valeur par le T-Shirt blanc aux inscriptions latines sombres qu'une longue veste noire recouvrait presque entièrement, ainsi que le pantalon de la même couleur impécablement bien coupé. Ses cheveux bruns légèrerement bouclés par la légère pluie qui acceuillait le début de l'automne sur RiverFall encadraient le même visage aux yeux topaze et aux lèvres rieuses.

Il s'avança vers les deux acolytes, forcés de constater qu'ils n'avaient pas du tout changé:
Jacob paraissait toujours aussi workaholic qu'au début de l'été; sa petite moustache lui allait merveilleusement bien tandis que dans ses yeux se lisaient...l'indéchiffrable caractère d'un metteur en scène de talent!
Quand à Elena White...

"La scène m'est heureuse de vous y rencontrés!" fit-il en s'inclinant comme pour saluer un public. Son sourire n'en était que plus éclatant lorsqu'il releva la tête et passa une main désinvolte dans ses cheveux. Sauta de la scène pour être à égale hauteur avec les deux autres, il passa à côté d'Elena sans le moindre regard et pris Jacob par les épaules; plus macho, vous connaissez?

"Pour répondre à ta question: oui tu bosses, comme nous tous ici! J'admets volontier que nous faisons partie d'un groupe de privilégiés qui puisse allier plaisir à la tâche mais...Que veux-tu qui lui soit arrivé? Maintenant qu'elle est émancipée, il ne devrait plus y avoir de risques de...Excuse-moi, tu voudrais peut-être ajouter quelque chose, Elena?"

Phoenix se détacha du metteur en scène afin de plonger dans le regard pleins d'éclairs de la jeune fille. Bien qu'il ne lui avait jamais accordé la moindre importance, Phen ne pû s'empêcher de se souvenir des moindres détails d'un visage aux traits si réguliers qu'on les auraient pris pour avoir été taillés par un orfèrvre hors pair ou un peintre de génie. Le charme vulnérable d'Elena contrastait tant avec son caractère qu'il qualifiait de cochon qu'il n'arrivait jamais à la cadrer? Enfin, bon...tant qu'ils n'avaient pas à jouer Roméo et Juliette ensemble, tout irait bien.

"Bon puisque Mademoiselle met trois blombes pour me répondre - ce qui est d'ailleurs parfaitement mal élevé mais personne ne se refait - quelqu'un aurait-il vu une jolie brune d'environ la moitié de ma taille, merveilleusement affolée comme une biche qui fait son entrée au Shakespear aujourd'hui?"

Elena lui aurait-elle confiée à ce moment à qu'elle point son été avait été misérable et remplis d'amertume envers des parents qui ne se respectaient plus? Elle n'aurait su le dire, puisqu'au moment où elle voulu ouvrir la bouche, peut être pour faire part des tourments qui accablait son coeur, une voix s'éleva dans la pièce.

La jeune femme leva son regard claire vers le haut, suivant cet voix qu'elle aurait reconnu entre mille pour lui avoir si souvent donner la réplique. Phoenix se tenait là, un sourire au lèvres après avoir proclamer un manque d'affection ou de bienvenue avec humour. Elle lui aurait sans aucun doute donner le même accueil, peut être même plus prononcée puisqu'elle détaillait maintenant l'homme qu'elle croyait connaitre depuis tant de temps et pourtant, à ce moment, alors qu'il venait de mettre bien contre terre de cette façon bien à lui de rendre dramatique n'importequ,elle moment banal, il lui seblait qu'un autre Phoenix lui apparaissait. Peut-être était-ce sa propre vision du comédien en question qui s'était vue changer mais la jeune femme sentit alors une bouffer de sympathie pour le charmant jeune homme qui se tenait devant eu.

Mais, bien vite, toute cet chaleur nouvelle qu'elle ressentait se refroidit avec une vitesse et une radicalité déconcertante. Premièrement, il passa tout bonnement à coté d'elle, comme si elle n'éxistait pas, comme si elle n'était qu'un spectre, un fantôme oublier du théâtre. La jeune femem crut alors à une blague et ne s'en fit pas vraiment. Elle regarda les deux hommes se saluer en bon machos, ce qui la fit un peu sourire. Elle chercha alors le regard de Phoenix pour lui dire au moins un bonjour : il lui avait tant manqué! Comme toute la troupe d'ailleur, enfin, c'est ce qu'elle essayait de se faire croire ... Mais non, pas un regard, pas un seul sourire, c,était à peine s'il évitait un contacte visuel. Le faisait-il vraiment? C'était absurde!

La belle tenta une fois de plus d'établir un contacte et dévisagea, le plus poliment possible, Phoenix. À sa plus grande frustration, elle constata qu'il n'évitait pas qu'un simple contacte visuel mais bien sa présence toute entière. Mais bon sens, à quoi pouvait-il bien jouer? Il ne fallait pas s'énerver pour peu, c'était idiot ... mais elle ne comprenait pas pourquoi, ce jeune homme qu'elle avait toujours considéré comme un très bon ami, décide du jour au lendemain à l'oublier, même en simple plaisanterie.

Le concerné s'arrêta alors subitement et se rendit compte de sa présence comme ça, tout bêtement, de la plus impolie des façons. Elle n,eut pas vraiment le temps de répondre qu'il continua, s'en prenant encore à elle. Si c'était une plaisanterie, elle était de très mauvais goût!

" Ravie de te revoir, Phen! Tu sais quoi, toi aussi tu m'as beaucoup manqué! Si tu veux savoir, mais j'ai des doutes la dessus, j'ai passé le pire été de ma vie, merci beaucoup! " Lança t'elle d'un trait, plus acide que jamais.

"Oh et surtout, ne t'inquiète pas, tu peux continuer ta conversation avec Jake. Ne te dérange surtout pas pour moi voyons! Après tout, je suis invisible, je ne compte pas, non? "

Elena avait du mal à concevoir le fait que ses dires avaient sortie d'eux même de sa parole si généteuse de nature. Peut être était-ce plus qu'elle ne pouvait en supporter maintenant, puisqu'elle avait été invisible au yeux de ses parents tout l'été, une simple spectrice de leur querelles et déchirures quotidienne pendant tout leur voyage en France? Elle était si heureuse de retrouver la troupe, en particulier Phoenix, qui lui avait étrangement plus manquer qu'a l'habitude. Il n'avait pas le droit, lui non plus, d'être si froid et dur envers elle. Pas lui, pas Phoenix Howard...

Jake Clayton attendait donc un réponse à la question qu'il avait discrètement posé, mais son interlocutrice n'eut le temps de dire mot que déjà un troisième voix s'élevait dans sur la scène résonnant à l'infini. Cherchant des yeux le propriétaire de ce tenor, le metteur en scène vit soudainement, tombé du ciel un jeune homme qui devait avoir deux têtes de plus que lui, sans compter l'estrape évidemment. Il s'agissait enfaite de Phoenix Howard.
Jacob ne bougea pas d'un pouce, étant donné qu'il passait devant Elena, notre cher metteur en scène s'attendait à des retrouvailles entre partenaires de scène mais il n'y fit rien, car le dénommé Phoenix passa droit devant la délicieuse actrice dans rien dire venant saluer son metteur en scène en premier. Celui ci, qui n'avait toujours pas sa langue dans sa poche ne put retenir :

"Et la galantrie alors ? Allez salut Phoenix, comment vas-tu ?"

L'ambiance qui était pourtant détendu eu vite fait d'être plus glacial que le pôle nord. Si cela avait été concret, l'air vous aurait sans doute glacé les poumons en quelques secondes. Jake regarda alternativement Elena et Phen. Puis il dit de sa voix comique et amusée, comme d'habitude lorsqu'il était de plutôt bonne humeur :

"Manquer de calins dis-tu ? Alors que tu as une jolie blonde qui n'attends que ça devant toi... Mon cher arrête un peu."

Qu'il est difficile de comprendre le comportement humain! Un grand philosophe parlait d'une symbiose entre une perpétuelle girouette et une intelligence partielle...le cas Howard serait-il l'exception qui confirmerait cette règle?

Phoenix s'était adossé à une des larges poutres qui silonnaient toute la pièce, la tête quelque peu renversée et ses yeux perdues vers le plafond. Les réactions des deux personnages lui avaient donné matière à réfléchir, notemment celle de Jaycob et quelque chose d'infiniement lourd serra so coeur quelque part enfouit dans sa poitrine. Curieusement, ses poings suivaient le même mouvement, de sorte que les paumes contractées vers l'intérieur blanchissait les entre-doigts. Croisés devant son torse, ses bras cherchaient presque à protéger sa peau recouverte du fin tissu blanc des leçons du metteur en scène...et de la colère de la jeune fille.
Qu'avait-elle à se mettre dans tous ses états? Ne comprenait-elle pas qu'il plaisantait? Manifestement pas à en juger par le ton sarcastique...

"Une jolie blonde qui n'attend que ça devant toi..." ?
Le jeune homme tourna la tête sans même changer de position et leurs regards se touchèrent à nouveau...
Phe n'avait jamais lu autant de déception dans les prunelles claires de la belle Elena. Car belle elle l'était et il s'en était rendu compte bien tardivement, alors que la fin de saison annonçait le départ en vacances. Le Shakespear avait donné en guise de final une pièce aussi légendaire que triste: Tristan et Yseult; pour la première fois, les deux amis s'étaient retrouvés en couple sur scène et Phoenix se souvenait encore aujourd'hui de la grave erreur qu'il avait commis: il n'avait pas été prévu qu'Elena et lui échange l'ultime baiser avant la mort pour de vrai. Pourtant, il n'avait pû s'empêcher de se pencher d'avantage sur le beau visage au paupières clauses et de goûter au sucré plaisir qu'elles dégageaient. Depuis, trop de questions virevoltaient dans sa tête. Et s'il avait anéantit une amitié de longue date?

Phen, quoique très apprécié de la gente féminine, n'avait jamais connu le véritable amour, pure et simple selon la définition de White (hj: Elena, c'est pour ça que tu as choisis ce nom de famille pour ton perso? ) et ce qu'il avait ressentit dans ce baiser allait à l'encotre de tout ce qu'il en avait jamais lu; c'était si violent qu'il en avait peur. Le mieux avait donc été de couper le contact pendant l'été de se montrer distant pour l'instant...une distance qu'elle ne semblait pas apprécier. Mais que devait-il faire? La prendre dans ses bras? Lui rire au nez?

Pourtant, ils ne pouvaient pas démarrer la saison sur ce mauvais pas aussi, Phen quitta sa pause adossée et avant qu'elle ait pu dire "ouf", il l'avait saisie par les épaules et appliquait sur ses cheveux blonds un léger baiser.
"Tu es loin de passer inapperçue..."

Il la quitta lentement, avant de se tourner vers Jacob qui les observait. Sourir au poing, le jeune homme lui fit:
"Tu n'as toujours pas répondu à ma
question. Mais peut-être devrais-je m'exprimer autrement. Ma cousine
Lyra fait son entrée au Shakespear aujourd'hui et je e voudrais pas
qu'elle tombe entre les griffes de mauvaises personnes...tu sais, la
jolie brune qui travail comme serveuse au Baroque!"

Elena avait toujours son regard claire, froid, fixé intensément sur le beau, l'impassible visage de Phoenix et elle n'avait pas l'intention de le baisser. Jake dut alors sentir la tention qui se dégageait dans la pièce car il prit la parole avec cette humour qui cachait souvent, à quelque part et subtilement, quelque chose de sérieux. ... Une jolie blonde qui n'attend que ça! Elle fut touché par cette remarque mais ne le montra pas. S'il avançait d'un pas, Elena allait repousser toute avance de la part du jeune comédien.

Enfin, c'est ce qu'elle ce dit mais aussitôt que leur regard s'échangèrent, elle ne pu s'empêcher de fléchir et de pensser le contraire. Oh oui! Qu'il la prenne dans ses bras, avec toute l'attention qu'il était capable de mettre dans un vers... Enfait, la jeune femme n'eut pas vraiment le temps de réagir qu'il était déjà devant elle et l'avait saisit de par ses épaules frêles. Il fit alors quelques chose d'innatendu qui surpris Elena, autant dans son orgeuille, puisqu'elle était toujours supposer lui en vouloir, mais aussi dans ses émotions et ses plans qu'elle s'était établie pendant l'été concernant son attachement à lui.

Pendant quelques secondes, il avait déposer ses lèvres contre ses cheveux blond. Pendant quelques secondes, elle avait fermer les yeux alors que son coeur se serra si fort qu'il sembla s'arrêter, l'emportant dans un vertige à la fois douloureux et réconfortant, ce même vertige, quoi que beaucoup faible, qu'elle avait ressenti quelques mois auparavant alors que ses lèvres avait toucher les siennes dans un ultime baiser qui ne devait pas avoir lieu devant tout ses spectateurs. Comme elle avait eu du mal à se reprendre! Par la suite, Elena avait mit la faute sur l'émotion du jeu, sur ce qu'avait ressenti Iseult pour Tristan et non Elena White pour Phoenix Howard... mais maintenant qu'elle se trouvait devant lui, les choses était beaucoup moins claires et elle se sentit plus déstabiliser que jamais. Néenmoins, elle tenta d'avoir l'air normal et étant comédienne, cela parut crédible.

"Tu es loin de passer inapperçue..."

Ce fut là la plus belle chose qu'on aurait pu lui dire en se moment. Si Phoenix avait été près d'elle, cet été, et qu'il le lui avait dit avec toute cette conviction, Elena aurait quitter tout de suite la France et le voyage qu'avait organisé sa famile tellement les querelles étaient devenu absurde. Pourquoi avait-elle endurer ça pendant absolument tout le voyage? Parcequ'à quelque part, elle espérait qu'on lui dise quelque chose de semblable à ce qu'il venait de dire... "Elena, tu es vivante, tu es là, ce n'ai pas toi, nous t'aimons, ne sois pas triste à cause de nous."

Phoenix quitta lentement son étreinte et Elena aurait voulut lui dire combien elle le remerciait mais, maintenant, elle ressentait une profonde frustration envers elle-même pour avoir resentit une fois de plus les émotions d'Iseult et aussi envers lui, pour jouer ainsi avec elle. Elle avait l'impression qu'il pouvait la manipuler comme il le voudrait à l'avenir et qu'elle se ferait prendre à tout coup, ce qui n'était pas vraiment de sa faute à lui en fin de compte puisque s'était elle qui faiblissait de la sorte devant lui et cette constatation ne la mis que plus en colère.

Résultat : une Elena physiquement impassible, un semblant de bonheur revenant à son visage mais à l'intérieure, luttant contre une tempête d'émotions contradictoires plus fortes les unes que les autres. La jeune femmme réussit tout de même à écouter ce qu'avait à dire Phoenix à Jake et elle se sentit soulager d'apprendre que la "biche" don parlait Howard n'était nul autre que sa cousine.

" J'ignorais qu'elle était ta cousine... Pourquoi n'en a tu jamais parler?" Fit elle, surprise.

Jake avait autrefois, vous le savez été acteur. Se glissant dans la peau de beaucoup de personnage, il sillonnait les scène pendant des années, avant de tiré son ultime révérence, après celle-ci plus jamais il ne remonta sur scène costumé, plus jamais il ne relança sérieusement la réplique, il ne voulait redevenir acteur, il ne pouvait plus le faire. On ne sut jamais très exactement pourquoi, réussirez vous à le découvrir ? Ce tel est le cas je vous tire mon chapeau moi je suis en pleine recherche, croyez moi sur paroles je m'y active. Mais bref ce n'est pas le sujet. Je disai donc que Jacob avait autrefois été acteur, mais que maintenant, il se contentait d'imaginé tout cela, jouant avec les comédiens comme avec des marionettes, pouvant les faire faire tout se qu'il désirait, voilà qui était une vision bien agréable des choses, se sentant parfois même maitre absolu de la pièce de théâtre il s'amusait bien des fois avec son rôle. Abus de pouvoir peut-être, vous auriez tord. Jake Clayton savait voir les gens, savait se qui était bon de faire avec eux, quelle réplique, quel ton il avait un excellente vision extérieur.... et la gardait même si il n'était pas en plein boulot. Malheureusement pour ses deux interlocuteurs peut-être.
Retenant un pouffement de rire pour ne pas les interrompre, il fini tout de même par dire d'une voix forte pour surpasser celles de Lena et Phen :

"Excusez moi de vous interrompre dans ce joli numéro à l'eau de rose, mais je veux parler."

Se levant d'un bond de son fauteuil rouge, il se plaça entre les deux personnages et médita un instant sur la question qui semblait tenir à coeur Phoenix : où était sa cousine. Lyra se nommait-elle ? Très bien il retenait, de sa voix commique mais qui gardait toujours un fond de sérieu et d'autoritée, il répondit alors :

"Crois moi très cher, si j'aurais vu une jolie brune qui en plus travail au bar je ne l'aurais pas oublier, et j'aurais été en mesure de te dire où elle se rendait. Je conclu, que non je n'ai pas aperçu ta cousine adorée."

Soulagée que l'atmosphère ait repris une ambiance normal, Elena s'accota doucement contre une colone, les bras croisées en regardant un a un les deux hommes devant elle. Elle avait l,air beaucoup plus décontracter et elle souffla à nouveau. La jeune femme laissa échapper un sourire aux remarques qu'ils firent tour a tour et écouta leur échange avec attention. la jeune Lyra, celle qui travaillait au bar de ben était donc la cousine de Phen mais en plus sa pupille? Tiens donc! Elle n'aurait pas debiner tout cela par elle-même.

Phoenix répondit alors à sa question en lui en posant une autre. Elena se souvenais d'avoir vue le jolie minois de mademoiselle Lyra au bar alors qu'elle s'y rendait il y avait quelques semaines avec Lola, juste avant qu'elle ne parte pour ce fameux et horrible voyage organisé par ses parents.

" Oui, enfin... juste de vue. C'est Ben qui l'a engagé et comme les O'neil sont presque ma famille... enfin tu sais que je connais Lola depuis mon enfance! J'ai aperçut ta cousine avant de partir cette été, je crois qu'elle venait tout juste d'être engagé, je me trompe?" demanda t'elle alors.

Elena sourit, se rappelant le regard qu'elle lui avait lancé à son entrée.

"Elle est jolie, son sourire était accueillant mais je n'ai pas eu le plaisir de la rencontrer vraiment. Ce sera peut être l'occasion de le faire!"

Chaleureuse de nature, Elena se faisait toujours un plaisir d'acceuilir les nouveaux avec une attention particulière et elle ferait de même avec la cousine d'Howard. Bien sur, il y avait toujours cette initiation au théâtre fait par les anciens mais ce n'était jamais méchant. Embarrassant? Oui, ça l'était, souvent même, mais jamais avec de mauvaises intentions.

" Mais ne crois pas qu'elle échappera à notre initiation, Monsieur Howard! Au théâtre, il n'y a pas de traitement de faveur en ce qui concerne les nouveaux." Fit elle alors d'un sourire malicieux.

" Alors ça, certainement pas!!" fit une voix sortant du fond du théâtre.

C'était Mel', bien entendu. Elle était un peu en retard pour la réunion parce qu'elle avait eu une discussion plutôt sérieuse avec son père. Ses relations avec ses parents avaient été tendues avec eux pendant très longtemps et c'était seulement maintenant que la jeune femme pouvait avoir une conversation avec eux sans ressentir des envies de meurtre.

Elle faisait donc de son mieux pour renouer avec eux, mais elle était consciente que ce qui avait été perdu ne pourrait jamais être retrouvé. Sa relation avec ses parents ne serait plus jamais la même.

Elle était un peu honteuse d'arriver ainsi en retard, mais sa culpabilité avait été oubliée dès qu'elle avait franchi les portes du théâtre de poche et qu'elle avait vu Elena, Phoenix et Jake en train de discuter ensemble. Elle les avait observés pendant un rapide instant, se disant combien elle était heureuse de revoir ceux qui constituaient pour elle une deuxième famille.

Ses vacances avaient été banales, elle avait travaillé son jeu comme d'habitude, s'était reposée, sans plus. Mais le fait de venir au théâtre et d'être prise par les répétitions, l'apprentissage de son texte, tous ces amis qu'elle s'était fait depuis qu'elle était au Shakespeare Theater, comme ils lui avait manqués!!

Après cette réflexion rapide, elle s'était décidée à approcher ses trois amis, qui ne l'avaient pas encore remarquée. Elle n'avait pas surpris le petit moment de tension qui s'était dissipé auparavant et arriva juste à temps pour entendre Elena parler de Lyra (qu'elle ne connaissait pas encore). Elle fit un sourire énorme en s'immisçant dans la conversation. Elle débita d'une traite:
"Coucou!! Si vous saviez comment je suis contente de vous revoir!! Vous avez passé de bonnes vacances ?"

Se calmant un peu, et prenant au passage un peu d'oxygène, elle en profita pour faire à chacun des acteurs une bise retentissante. Elle prit soudain un air étonné et un peu théâtral :
"Quoi ?! Qu'entends-je ?! Qu'ouis-je ?! Phen' a une cousine ? Et cette cousine vient chez nous, dites-vous? Pauvre petite, elle ne sait pas ce qui l'attend!" s'exclama-t-elle d'un ton dramatique et en secouant la tête d'un air presque compatissant, puis elle se tourna vers Elena et lui fit un clin d'oeil.
"J'ai déjà ma petite idée pour son "cadeau de bienvenue", enfin, si on peut appeler un cadeau, bien sûr..." ajouta-t-elle avec un sourire sadique.
Elle regardait maintenant Phoenix, attendant sa réaction et fit un sourire à Jake qui la regardait d'un air amusé.

C'était Mel', tout simplement. La jeune femme était déjà très exubérante de nature, alors ajoutez à cela la saison d'hiver qui allait bientôt commencer, des retrouvailles avec les personnes et l'endroit qu'elle aimait le plus au monde, et il y avait de quoi dynamiter Riverfall. Pendant que la jeune femme éclatait de rire (à sa propre blague XD), elle se rappela qu'elle était en retard, et semblait-il, la dernière à être venue au rendez-vous. Elle cessa de rire et s'excusa :
"Excusez-moi, je suis en retard... J'ai manqué quelque chose ?" demanda-t-elle d'un air un peu gêné.

[Salut !! ]

[Je squatte aussi ]

Anna Ferderson venait d’arriver d’Irlande. Son voyage avait été des plus agréables, mais elle avait amèrement regretté l’absence d’un ami à qui elle aurait pu se confier. N’ayant maintenant plus de famille à Londres, elle avait décidé en août de partir seule dans ce petit pays qui la faisait tant rêver. Chose désormais faite. Malheureusement son taxi qui l’emmenait au théâtre pour la grande reprise était en retard. La réunion de rentrée allait donc commencer sans elle.

Elle était excitée de revenir encore une nouvelle année au Shakespeare. Elle adorait son travail et retrouver sa petite famille la remplissait d’une joie impatiente. Le taxi arrêté, elle fourra un billet dans les mains du chauffeur et sauta de la voiture. Valise en main (pas le temps de la déposer chez elle !), elle pénétra dans le théâtre pour se rendre dans le plus petit où la troupe répétait. Avant d’entrer, elle s’arrêta sur le pas de la porte, émue de cette vision. Ils étaient presque tous là. Tout d’abord Mel’ à la bonne humeur si contagieuse, Elena qu’elle considérait comme sa meilleure amie, le mystérieux et talentueux Phoenix. Et surtout... Surtout Jake, le metteur en scène. Cela faisait si longtemps maintenant qu’elle l’aimait, qu’elle ne fût guère étonnée de voir que son cœur battit un peu plus fort, en sa présence, comme d’habitude.

Anna entendit les dernières paroles de Melody et pénétra à son tour dans le théâtre de poche. Intimidée de nouveau d’être le centre de l’attention, même si elle les connaissait maintenant tous bien. C’était sa nature, cette timidité...

- Salut à tous, j’ai manqué un épisode ? Juste eu le temps d’entendre parler d’une certaine cousine...

Posant ses bagages, elle embrassa chaleureusement ses camarades, serrant peut-être un peu plus fort Elena mais se maîtrisant devant Jake. Après tout, quoi de plus normal pour une actrice ?

- Désolée Phen, si tu attendais un soutien de ma part pour ta cousine, sourit narquoisement Anna, tu sais combien je déteste cette coutume, mais un cadeau c’est un cadeau. Je suis partante.

Du coin de l’œil, elle observa Elena White. Elle ne se souvenait que trop bien de la scène finale de Tristan et Iseult l’année dernière. Les deux acteurs avaient récupérés les rôles principaux de la pièce, et devaient s’embrasser lors de cette fameuse scène. Hum... Vu des coulisses par une habituée, le baiser avait peut-être été un peu long. Anna se demanda s’ils s’étaient revus durant l’été. Après tout, s’il y avait des choses nouvelles à savoir, Elena le lui dirait bien.

Bref, revenons à la réunion. N’attendant qu’à peine une réponse de Phoenix Howard, Anna posa ses grands yeux bleus admirables sur le metteur en scène, pour avoir des instructions. Un peu honteuse de s’être laissée aller à la plaisanterie, alors qu’elle aurait mieux fait de ne pas la ramener puisqu’elle était déjà en retard.

Jake allait répondre à Phoenix quelque chose, ce pauvre vieux s'inquiétait de l'avenir de sa cousine si Jacob Clayton commençait déjà avec ses réflexions déplacées. Bien que cela n'eu été dit sur le strict ton de la rigolade, avec le metteur en scène, sur ces choses là, on pouvait difficilement dire si cela n'avait pas un fond de vrai. Je reprends donc, Jake allait répondre mais il fut coupé dans son élan par Miss White, puis par une quatrième voix. Jake scruta les environs et vit un certain Melody Oxford, arrivé par la porte de derrière et s'avancer vers eux.
Il repensa un instant à ses vacanes, tout le monde allait donc lui demander, de toute manière c'était normal, mais raconte trente-six fois ses monotones vacanes où son activité favorite était de resterallonger sur son lit, portable non loin, et s'imaginer des scènes de théatre n'était pas très glorieux, si on mettait à compter, péripécies par milliers, lieux extraordinaires dont pouvait contenir les vacances du commun des mortels.

"Mes vacances ont été comment dire... banale. En se qui concerne ta chère cousine mon cher, ne t'en fait pas je me tiendrais à une distance raisonnable, promis. Mais je suis d'accord, un cadeau de bienvenue s'impose !"

Mais la discution à quatre à peine commencée, quelle se termina, une autre voix, douce et timide retentissait, faisant tourner instinctivement la tête de Jake en sa direction. De là, il voyait Anna Ferderson arrivé doucement, saluant tout ses camarades. Il ne la quittait pas du regard, il la fixait presque. Quand enfin se fut son tour, il ne réagit pas immédiatement, absorber dans ce regard bleu électrique, qui le fixait intensément. Mais il secoua la tête et reprit du mouvement, enlaçant doucement cette chère Anna.

"Je suis content de te revoir ma chère."

Lui murmura-t-il à l'oreille avant d'interrompre cette enlacade, pour se laissé retomber sur un des nombreux fauteuil, observant la scène et étant attentif autant que possible à la discution, son portable dans la main, comme ci celui ci était une prolongation naturelle de son membre, jettant des coup d'oeil rapide à Anna de temps à autre, et faisant de bref apparition dans la converssation aux moments voulu.

Une explosion narrative éclata alors dans la pièce, gracieuseté de la jolie Melody pleine d'entrain. Elena se tourna vivement pour l'apercevoir et la salua d'un grand sourire. Il était bon de retrouver cette chère Mel'. La jeune femme aquiéça pendant les questions de son amie et fut heureuse d'entenddre qu'elle n'était pas la seule en se qui concernait l'initiation. Après tout, Phoenix était toujours le premier à vouloir appliquer cette tradition, non? Pourquoi serait-il rétisent face à l'initiation de sa cousine?

"J'ai déjà ma petite idée pour son "cadeau de bienvenue"..."

" Oh et bien j'espère que tu nous en feras part après la réunion, Mademoiselle malice!" dit elle en s'approchant de la comédienne avant de la serrer dans ses bras.

" Et non, tu n'a rien manquer de très important, ne t'inquiète pas!"

Soudain, une autre entrer : Anna! Elena fut tout aussi heureuse de retrouver une nouvelle complice qui prit aussitot sa part. Elle ne se fit pas prier quand Anna la serra fort dans ses bras pour lui témoigner son affection et sa bonne humeur à la retrouver. Elena n'avait pas oublier cette douceur qui lui avait tant manquer. Elle recula un peu et observa la scène Anna/Jake silencieusement du coin de l'oeil. La jeune femme ne pu s'empêcher de sourire.

La jeune blondinette se tourna alors et sourit à Melody puis, elle croisa le regard de Phoenix qu'elle avait presque oublier pendant quelques secondes. Il s'était lui aussi approcher du petit groupe pour prendre part à ces retrouvailles. Elle n'eut pas le reflexe de lui sourire à lui aussi, destablisée, elle évita plutôt vivement son regard pour le remaner vers Anna qui avait timidement lâcher l'étreinte du metteur en scène.

*Calme toi, idiote! Tu le côtoie chaque jour depuis des années. * se dit elle sèchement en penser.

Un silence de plomb, glacial vint s'installer dans la salle du théâtre. Cette ambiance pesante venait ravisser tout ceux qui avaient dans l'idée de dire quelque chose. Cela venait sans doute de l'anonce de Phoenix Howard, disant que sa cousine venait d'enterrer son père alors que toute la troupe songeait au bizutage qu'il infligerait à cette pauvre fille. Jake, qui parraissait soudain gené, s'était laissé tombé lourdement une nouvelle fois sur un des fauteuils rouges du publique, et observait à tour de rôle tout les acteurs ici présent, qui gardaient le silence, l'air mal à l'aise. Le metteur en scène détestait ce genre d'ambiance, comme la plupart des gens de toute manière. Quoi qu'il en soit, il se raccla la gorge, pour essayer de briser ce silence, mais rien n'y fit, il persistait à flotter dans les air. Sachant qu'il fallait faire quelque chose, Jacob songea un instant à quoi dire ? Les "sinon sa va ?" ou les "Quoi de neuf à part ça ?" il savait que c'était à éviter, car la plupart du temps, cela n'arrangeait absolument rien, et même empirait les choses. Lançant un regard à Phen, avec un triste sourir qui lui allait si bien, il regarda ensuite Lena, souriant cette fois de son sourire habituel, amusée ironique agaçant. Il aimait beaucoup la relation électrique entre ces deux personnages, les cernant bien ces deux là.. Il regarda chacunes des personnes ici présente, s'attardant peut-être plus sur Anna ? Aucune idée..
Pourquoi étaient-ils tous ici ? Pour regarder l'herbe pousser ? Enfin, si je puis me permettre de faire une petite parenthèse, cette expression que j'ai sortie à la ligne du dessus est totalement idiote, car il n'y avait pas d'herbe dans un théâtre, excusez moi de cette faute plutôt débile, je referme ma parenthèse. Je reprends donc, pourquoi étaient-ils tous ici ? Pour le théâtre bien sur ! D'u ncoup, Jacob se leva, se dirigea vers le fauteuil qu'il occupait en tout premier lieu, au pied de celui ci se trouvait une vieille sacoche que le metteur en scène avait de bien longtemps, et en sorti quelques feuilles qu'il lu en silence, avant de les ranger à nouveau. Puis, ses reflexes de metteur en scène en chef le rattrapa, il frappa bruyamment dans ses mains pour réveiller tout le monde, et de sa voix qu'il prenait tout le temps lorsqu'il travaillait et qu'il voulait motiver ses troupes, cette voix qui vous donne envie de bien faire, cette voix mêlant détermination et autorité :

“Allez les jeunes on m'écoute ! Maintenant on travail, on commence sans Alex.. Bon, en premier lieu on va monter une nouvelle pièce de théâtre : Hamlet, Prince du Danemark. J'ai fait la distribution des rôles. Phen, tu vas faire Hamlet, Anna, Gertrude la mère de Phen. Laërtes ça sa être Matthew, Elena du fera sa soeur Ophélie. Melody, toi se sera Horatio. Et Alexander fera Claudius. Sa vous va ?”